Jour 2 : prendre le taureau par les cornes (ou presque)…

Par ici... 25 avril 2017

Réveil fruité…

Ce matin, petit-déjeuner « banane ».
Je me suis équipé de deux régimes pour la semaine, problem solved.

Première incursion gastronomique…

Au bout du rouleau à quelques minutes de la pause déjeuner, je me suis laissé tenter par un restaurant vegan. Entré dans cet univers nouveau pour mes petits yeux, j’ai pu admirer la beauté de ces cagettes de légumes encore recouverts de terre qui s’entassent deci delà.
Le véritable constat frappant, c’est l’écrasante majorité de femme parmi les clients. Pour décrire simplement la scène, au moment de passer le seuil du restaurant, j’ai compris que j’étais le seul représentant de la gente masculine…

C’est avec une certaine gêne que j’ai demandé au serveur ce qu’il me proposait de strictement vegan. Ni une ni deux, je me retrouvais avec une salade très colorée en fort contraste avec le sourire bien blanc de mon interlocuteur.
Evidemment, un profond sentiment de déception s’installe rapidement dans ces moments-là. Oui, vous savez, ces moments où la réalité confirme les a priori.

Là où tout espoir semblait perdu. Là où je me voyais péniblement mâcher un morceau de pain en guise de dessert. Le serveur m’a proposé une part de gâteau au chocolat pour clore le repas.
Ô joie ! Mes yeux en brillent encore !
« Enfin quelque chose d’appétissant ! », me criait une petite voix au creux de mon oreille (cette même voix qui me répète toujours de ne pas céder à la tentation du pot de Nutella d’ailleurs).

Je serais malhonnête si je ne faisais pas amende honorable.
Figurez-vous qu’il était plutôt bon ce gâteau. Certainement pas au niveau de celui que ma grand-mère chargeait en beurre mais il en avait sous le capot.
Ça ma redonné le sourire…

La pause café…

Nommez-là plutôt « pause chocolat » en ce qui me concerne…
Cette semaine, elle devient la « pause thé au citron chimique de la machine à café ». On va dire que c’est mieux que rien. Ou pas…

Le dîner…

Sans grande originalité, j’ai à nouveau embrayé sur mon duo de tomates accompagné de sel. Ça sent les vacances…

Le dessert « banane », quant à lui, a laissé la place à une compote de pomme issue de mon stock prévu pour l’occasion.

Aurélien 1, hypoglycémie 0.

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