On y est. Dernier jour de mon périple en terres végétaliennes…
Au nom du père…
Avec mon expertise modeste, j’ai entrepris de consacrer une partie de mon dimanche (vingt minutes à dire vrai) au sujet du véganisme dans la religion.
Je rappelle pour ceux qui seraient juste de passage qu’il y a, selon moi, plus de chances de rencontrer un jour un Jedi plutôt qu’un quelconque être suprême vivant au Paradis.
Donc. Je me suis penché sur le cas de la religion.
Si vous étiez à l’église ce matin, rassurez-vous, les hosties sont tout ce qu’il y a de plus vegan. Au sens propre du moins. Car au sens spirituel, il est tout de même question de manger Jésus…
Ah, on me souffle à l’oreille qu’il s’agit juste d’un humain ; on est bon.
De manière générale, chaque religion possède une petite fête où les animaux n’y sont pas… A la fête justement.
Bien loin de défendre la cause animale, et humaine soit dit en passant, tous ces courants spirituels n’ont finalement pas la même vision de la souffrance animale que nous.
Après mes vingt longues minutes de recherche sur Wikipédia, entrecoupées par une ou deux vidéos YouTube, j’en suis venu à me demander si le véganisme n’était pas lui aussi une religion.
Il s’agit finalement bien d’un système de pratiques et de croyances pour un groupe ou une communauté. On tiens un truc là, non ?
Dernier repas…
Ce soir, j’ai profité de mon dernier repas vegan comme il se doit. Rien de bien fou, rassurez-vous ; juste un petit tajine aux légumes.
J’ai vérifié, je suis dans les clous.
Si vous suivez l’expérience depuis le début, vous aurez compris que mon incursion dans le monde végétalien s’arrêtera ce soir à 23h59.
J’en sors quelque part un peu grandi et surtout très décidé.
Rendez-vous demain pour les conclusions…
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