Les 7 jours qui peuvent tout changer…

Par ici... 23 avril 2017

Une fois n’est pas coutume, deux nouvelles se cachent dans ce billet.

La première, c’est qu’il amorce une série d’articles dans lesquels je m’exprimerai à la première personne.
La seconde, c’est que je m’apprête à démarrer une expérience hors du commun en testant le véganisme pour une semaine (de sept jours, si vous voulez tout savoir).

Et oui. Vous avez bien lu. Moi, Aurélien, 33 ans, adepte des photos de côtes de bœuf sur Instagram, je vais découvrir de l’intérieur ce mode de vie dont tout le monde parle.

Le véganisme, qu’es aquò ?

Sans vouloir paraphraser Wikipédia qui joue son rôle à merveille, le véganisme est un mode de vie qui allie alimentation végétalienne (pas de viande, pas de poisson, pas de produits laitiers, pas d’œufs, pas de miel) et non-consommation de produits issus des animaux (cuirs, fourrures, laines, programme de Marine Le Pen, etc.).

Le véganisme est également militant puisqu’il est question de défendre la cause animale.
Bien plus qu’un choix culinaire ou vestimentaire, c’est un combat qui se mène avec convictions (et loyauté).

Mais pourquoi donc prendre autant de risques avant la saison des tomates-mozza ?

D’abord, parce que j’ai le goût de l’aventure.
Les burgers végétariens me font des appels du pied que j’ai su ignorer jusqu’à aujourd’hui. Mais, tel un Indiana Jones de la gastronomie du 21ème siècle, j’ai décidé de sauter sur mon fouet et mon chapeau pour relever ce défi.

Ensuite (et surtout), parce que cette expérience me donnera de vrais arguments (pour ou contre) et me permettra de me sentir légitime dans le choix que je ferai dans une semaine.

Enfin, parce que j’ai toujours rêvé de me présenter par un « Bonjour, je suis vegan ! » (troll inside).

Alors, comment s’y prendre quand on n’aime pas la salade ?

La première étape sera d’aller faire des courses.
Je ne vous cache pas que le contenu de mes placards n’est pas du tout vegan-friendly.
Adieu Granolas et autres tablettes de Crunch ; c’est pour la bonne cause !

Comme l’idée est évidemment de ne pas m’isoler socialement, je continuerai à partager mes repas avec les mêmes personnes qu’en temps normal.
Challenge accepted !

J’ai pris soin d’investir dans une paire de chaussures tout ce qu’il y a de plus synthétique.
Bon, par contre, elle a été fabriquée par des enfants mais au moins, les animaux sont saufs !

Ce sont les grandes décisions qui font les grands hommes…

Bon. Je crois que j’ai tout dit.
Dernier Burger King ce soir et demain, je m’y mets…

P.-S. : à ce stade, je n’ai pas trouvé mieux que du soja pour illustrer l’idée que je me fais du véganisme. Mille excuses.
P.-P.-S. : bonjour, je suis vegan !
P.-P.-P.-S : si tu es arrivé jusqu’ici et que je t’ai énervé, c’est peut-être que tu manques d’humour. Je t’ai mis une blague Carambar dans les commentaires.

4 commentaires

  1. Aurélien dit :

    Comme promis, la petite blague Carambar :
    Banane commence par un B mais normalement ça commence par un N.

    1. Loïc dit :

      Pour être honnête il m’a fallu presque 1 minute pour la comprendre…

    2. Aurélien dit :

      C’est du haut niveau ici ! 😉

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